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Les migrants, c'était ceux qui meurent à la télé. C'était ceux qui derivent sans fin sur des embarcations de fortune et remplissent les camps, pour les survivants.

Puis j'en al rencontrés du Nigéria, du Darfour, de Tchétchénie, du Nord de la France, de 'Ouest de la France...

Dans l'atelier d'écriture et de théâtre, j'ai découvert leur joie de vivre, leurs rites, leurs danses, leurs chants, leur amour pour leur pays. J'ai decouvert la beauté de mes soeurs, de mes frères, à partager. Avec tous.

Il n'y avait pas de musicien, il est venu. Il n'y avait pas de caméra, on en a trouvé une vieile, pas de cadreurs, pas de monteur, ils sont arrivés.

Il ne devait pas y avor de film, le voici.

 

Lorsque nous démontons les murs qui s'accumulent sous nos paupières, l'horizon s'ouvre, à la vie.

 

Zarina Khan

Naos ou la halte sacrée

20,00 €Prix
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